TRIUMPH RACER

5 septembre 2003

Les silentblocs

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Les silentblocs en caoutchouc.

La barre de métal qui servira de support aux quatre silentblocs.


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Un petit croquis pour organiser le travail.

Certaines cotes seront changées.


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Ici un premier perçage.

Il permettra un centrage précis de la pièce.


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Et surtout ...

D'éviter de casser la pointe de l'outil !


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On amène le rond lisse en acier mi-dur, à la dimension, sur toute la longueur, afin d'avoir 4 pièces de même diamètre.
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Nous tronçonnons les 4 ronds.

Ils deviendront les supports de silentblocs


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Un pré perçage est nécessaire...
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Pour le perçage définitif à 24 mm
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Ici les trois phases d'usinage.
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Les quatre supports identiques.

 


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L'intérieur des supports doit être conique.
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Le chariotage se pratique de biais.
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Avec un angle de 21°5.
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A droite un silentbloc dans son support.
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En haut à droite, les 2 pièces qui servent au démontage du silentbloc, rentré dans son support en force .
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Réalisation de l'axe, qui maintiendra les silentblocs.
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Sur cette image nous voyons l'axe qui traverse successivement:

Une cale de centrage (pour éviter la fusion du caoutchouc lors du soudage), le support,  une rondelle de serrage, et un écrou.


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Sous le moteur, les pièces assemblées.
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Vu en gros plan.
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L'opération est identique, pour la partie avant du moteur.
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Pour la fixation du silentbloc, dans la partie haute du moteur, il manque un goujon.
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Réalisation du goujon.

Pas anglais dans la culasse, puis pas métrique.

Diamètre de 10 au pas de 150


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La différence de pas de vis est difficile à voir.
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Vérification du pas de vis dans la culasse.
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En premier plan, le goujon et son écrous en place. L'usinage du support de silentbloc est identique au précédent.

 Le moteur n'a plus qu'à bien se tenir !


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